mercredi 7 décembre 2011

Le mystère de la chambre jaune - Gaston Leroux


Résumé

RESUME : Le professeur Stangerson travaille depuis quinze avec sa fille, qui a toujours refusé de se marier. Ils vivent tous deux au château du Glandier. Pourtant, Melle Stangerson finit par accepter la demande en mariage de Robert Darzac qui lui fait la cour depuis quinze ans.Mais peu de temps après qu’elle ai annoncé sa décision, on tente de l’assassiner.

Rouletabille, un jeune reporter, va tenter d’élucider le mystère.

La chambre jaune où s’est produit le crime était fermée à clé de l’intérieur : mais comment l’assassin s’est-il enfuit ? Au fil de l’enquête, Rouletabille découvre que le meurtre n’était pas le seul motif de l’assassin : les travaux scientifiques de M.Stangerson ont disparus. La police qui mène aussi l’enquête, a fait appel à un célébre inspecteur Frédérique Larsan qui lui soupçonne R. Darzac.

Cepandant, Rouletabille remarque que le comportement du célèbre policier est étrange. Il utilise depuis quelques jour une canne qui lui aurait était offerte à Londres. En examinant la canne, le reporter remarque qu’elle provient de Paris. Mais ce serait un homme ressemblant à R.Darzac qui serait venu acheter la canne en question…

D’autres indices semblent mener sur la piste de R.Darzac, mais lorsque l’on tente à nouveau d’assassiner Melle Stangerson, le garde appelé « l’homme vert » est tué par le père Jacques. Mais on découvre que l’homme était déjà blessé avant qu’on lui tire dessus. On pense que c’est lui le meurtrier, mais Rouletabille prouve qu’il ne l’est pas. Le mystère reste complet. R. Darzac est tout de même arrêté, mais le reporter promet de prouver son innocence ce qui déplaît à R.Darzac, qui semble ne pas vouloir que l’on découvre la vérité.

Lorsque Rouletabille paraît au procès, il affirme connaître le nom de l’assassin mais ne veut pas le dévoiler avant une certaine heure.

Alors, il commence à expliquer son enquêtes et ses découvertes, et, à six heures et demi, il dénonce F. Larsan comme l’assassin. Lorsqu’on appelle celui-ci pour qu’il se défende, il est déjà parti. Rouletabille annonce alors fièrement le vrai nom du policier : Ballmeyer. Ballmeyer l’escroc, Ballmeyer l’assassin.

Après de nombreux méfaits, celui-ci ce s’était rendu en Amérique où il avait été arrêté mais s’était enfuit. Il avait prit alors l’identité de Jean Roussel et avait rencontré la jeune Mathilde Stangerson qui vivait alors avec son père en Amérique. Ils étaient tombés amoureux l’un de l’autre, mais le père s’était opposé au mariage et avait envoyé sa fille dans l’Ohio.

Mais Jean l’avait rejoint et ils avaient décidé de se marier au plus vite. Mais un matin, la police vint arrêter Jean et apprit à Mathilde qu’il n’était autre que le bandit Ballmeyer. Elle revint auprès de son père qui ne sut rien de l’histoire. Lorsqu’elle apprit la mort de Ballmeyer, elle pensa pouvoir se remarier, mais Ballmeyer était encore vivant. Il la revit et lui interdit de se remarier car il l’aimait encore. La jeune femme raconta tout à Robert Darzac. Jean Roussel-Ballmeyer-Frédérique Larsan lui donna rendez-vous et de là résulta la tentative d’assassinat de la chambre jaune. L’épisode se renouvela.

Mais Ballmeyer, qui était en possession des travaux de monsieur Stangerson , lui promit que si elle se dérobait encore, il les brûlerait. Ballmeyer faisait également chanter Darzac pour qu’il renonce à Mathilde.

C’est ainsi que Frédérique Larsan décida d’accuser Darzac. Mais heureusement Rouletabille était arrivé à temps pour démêler les fils de l’intrigue mais il avait pourtant laissé filer Ballmeyer, qui savait que le jeune reporter avait découvert la vérité.

Ma note : 7,5/10

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